3 ans aux écuries de Julie Lavergne… J’ai effectué un bonhomme de chemin chez Julie Lavergne, 3 ans passés à me transmettre sa philosophie équestre et son concept. Et en 3 ans j’ai l’impression d’en avoir plus appris qu’en 21 ans d’équitation classique... Je suis arrivée à deux doigts d’arrêter de monter à cheval. Je ne prenais plus de plaisir parce que je ressentais que ma jument n’en prenait absolument aucun ! Cette jument que j’avais fait naître et qui avait une confiance aveugle en moi faisait les choses mécaniquement sans comprendre et sans plaisir, et cela déteignait sur moi … Ou bien était-ce le contraire ? J’avais besoin d’autre chose, d’une harmonie, d’un échange clair et d’un plaisir partagé. J’ai pu faire confiance à Julie et son équipe. Avec patience nous sommes arrivées ma jument et moi à communiquer, avec persévérance nous avons réussi à travailler conjointement. Le travail devenait plaisant et (presque) facile, mais pourquoi ? Parce qu’après beaucoup de remise en question j’ai eu la chance d’avoir eu un enseignement respectant le cheval, ses émotions, sa mécanique et le cavalier. J’ai à mon actif un panel d’exercices qui me permettent de prendre chaque cheval d’une manière différente mais j’ai aussi ma routine qui me permet de savoir le jour où ma jument n’est pas bien dans sa locomotion. J’ai appris à écouter et à ne pas priver le cheval de la seule manière qu’il a de s’exprimer par LE MOUVEMENT. Ce fut donc une évidence lorsque j’ai cherché une nouvelle jeune jument à acheter, qu’elle serait au travail chez Julie. Qui dès lors à fait en sorte de nous fixer des objectifs clairs, précis et facile à atteindre pour me permettre de voler de mes propres ailes, en ayant quoi qu’il arrive des exercices me permettant de... Lire la suite
3 ans aux écuries de Julie Lavergne…
J’ai effectué un bonhomme de chemin chez Julie Lavergne, 3 ans passés à me transmettre
sa philosophie équestre et son concept. Et en 3 ans j’ai l’impression d’en avoir plus appris
qu’en 21 ans d’équitation classique... Je suis arrivée à deux doigts d’arrêter de monter à
cheval. Je ne prenais plus de plaisir parce que je ressentais que ma jument n’en prenait
absolument aucun ! Cette jument que j’avais fait naître et qui avait une confiance aveugle
en moi faisait les choses mécaniquement sans comprendre et sans plaisir, et cela déteignait
sur moi … Ou bien était-ce le contraire ? J’avais besoin d’autre chose, d’une harmonie, d’un
échange clair et d’un plaisir partagé. J’ai pu faire confiance à Julie et son équipe. Avec
patience nous sommes arrivées ma jument et moi à communiquer, avec persévérance nous
avons réussi à travailler conjointement. Le travail devenait plaisant et (presque) facile, mais
pourquoi ? Parce qu’après beaucoup de remise en question j’ai eu la chance d’avoir eu un
enseignement respectant le cheval, ses émotions, sa mécanique et le cavalier. J’ai à mon
actif un panel d’exercices qui me permettent de prendre chaque cheval d’une manière
différente mais j’ai aussi ma routine qui me permet de savoir le jour où ma jument n’est pas
bien dans sa locomotion. J’ai appris à écouter et à ne pas priver le cheval de la seule manière
qu’il a de s’exprimer par LE MOUVEMENT.
Ce fut donc une évidence lorsque j’ai cherché une nouvelle jeune jument à acheter, qu’elle
serait au travail chez Julie. Qui dès lors à fait en sorte de nous fixer des objectifs clairs, précis
et facile à atteindre pour me permettre de voler de mes propres ailes, en ayant quoi qu’il
arrive des exercices me permettant de progresser seule.
Je pense que cela devrait être l’objectif de tout bon pédagogue … transmettre et faire
comprendre à ses élèves son savoir pour obtenir l’indépendance de celui-ci. Dans mon cas
l’objectif a été atteint !
Comme je le disais à chaque fin de cours ! Merci Julie... Replier
J’ai effectué un bonhomme de chemin chez Julie Lavergne, 3 ans passés à me transmettre
sa philosophie équestre et son concept. Et en 3 ans j’ai l’impression d’en avoir plus appris
qu’en 21 ans d’équitation classique... Je suis arrivée à deux doigts d’arrêter de monter à
cheval. Je ne prenais plus de plaisir parce que je ressentais que ma jument n’en prenait
absolument aucun ! Cette jument que j’avais fait naître et qui avait une confiance aveugle
en moi faisait les choses mécaniquement sans comprendre et sans plaisir, et cela déteignait
sur moi … Ou bien était-ce le contraire ? J’avais besoin d’autre chose, d’une harmonie, d’un
échange clair et d’un plaisir partagé. J’ai pu faire confiance à Julie et son équipe. Avec
patience nous sommes arrivées ma jument et moi à communiquer, avec persévérance nous
avons réussi à travailler conjointement. Le travail devenait plaisant et (presque) facile, mais
pourquoi ? Parce qu’après beaucoup de remise en question j’ai eu la chance d’avoir eu un
enseignement respectant le cheval, ses émotions, sa mécanique et le cavalier. J’ai à mon
actif un panel d’exercices qui me permettent de prendre chaque cheval d’une manière
différente mais j’ai aussi ma routine qui me permet de savoir le jour où ma jument n’est pas
bien dans sa locomotion. J’ai appris à écouter et à ne pas priver le cheval de la seule manière
qu’il a de s’exprimer par LE MOUVEMENT.
Ce fut donc une évidence lorsque j’ai cherché une nouvelle jeune jument à acheter, qu’elle
serait au travail chez Julie. Qui dès lors à fait en sorte de nous fixer des objectifs clairs, précis
et facile à atteindre pour me permettre de voler de mes propres ailes, en ayant quoi qu’il
arrive des exercices me permettant de progresser seule.
Je pense que cela devrait être l’objectif de tout bon pédagogue … transmettre et faire
comprendre à ses élèves son savoir pour obtenir l’indépendance de celui-ci. Dans mon cas
l’objectif a été atteint !
Comme je le disais à chaque fin de cours ! Merci Julie... Replier